samedi 15 juin 2013

Barbara. Et une révélation, une : Nina Hoss


Le dernier plan, un simple échange de regard entre les deux personnages principaux réunis au chevet d'un malade, est tout simplement sublime.

Pour le reste, c'est un délicieux et langoureux va et vient entre cruauté du contexte historique (très bien rendu ce début des années 80 dans un trou paumé en Allemagne de l'Est) et délicatesse de ce personnage fascinant (incarné par une révélation, Nina Hoss, incroyable actrice), aridité de l'intrigue et grandeur des sentiments suscités qui rend le tout extrêmement appréciable.


Seul reproche qu'on ne pourra pas manquer de lui faire : un (trop) grand académisme.

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