vendredi 12 juillet 2013

L'ombre du mal. Edgar Allan Poe et l'ombre de lui-même


Il y avait tellement mieux à faire sur cette bonne idée de départ. Au final, le truc est tiédasse, se regarde comme un téléfilm de bonne facture qui sans jamais parvenir à les digérer mélange allègrement Jack l'Eventreur (cette ambiance embrumée fin XIXème), Sherlock Holmes (l'humour et l'esprit en moins) et surtout Seven (le Serial Killer insaisissable et tout puissant cherchant à accomplir son oeuvre)...

Entre nous, si Edgar Allan Poe, de là où il se trouve, a vent de ce coup pendable qu'on ose lui faire, il doit se dire que les absents ont bien raison de le rester...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire