mardi 2 juillet 2013

Essential Killing. Par trop essentiel


Un survival minimaliste naviguant à la lisière du fantastique certes brillant mais trop aride et tâtant beaucoup trop de l'épure. Dommage que l'intégrisme de la forme (on n'est pas loin d'un dogme) accentue l'austérité du personnage (insaisissable, ne pipant mot) achevant de faire d'Essential Killing un objet assez peu sympathique et surtout beaucoup trop symbolique.

Pourtant, sur cette idée passionnante d'une "souris verte qui trempée dans l'huile finira en escargot tout chaud", je préfère par exemple la drôlerie absurde d'un After Hours, ou la puissance terriblement incarnée d'un autre ovni : Bad Boy Bubby.

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