dimanche 7 juillet 2013

Cannibal Holocaust. Le (grand) père du Found footage. Et 10 minutes d'éternité...



Je ne dis pas que des nostalgiques de nos videoclubs d'antan n'y trouveront pas, en le revoyant, quelques plaisirs coupables mais soyons clairs, le seul intérêt de Cannibal Holocaust, c'est son statut de papy du found footage (Il faut savoir rendre à César, grande idée que celle qui traversa l'esprit malade de Ruggero Deodato à l'époque) et ses 10 dernières minutes hallucinantes de réalisme et de modernité. Pour ces deux raisons, il doit être vu.

Sur le reste, faut être honnête, entre les pseudo scènes érotiques et le massacre interminable d'une pauvre tortue qu'a rien demandé à personne, Cannibal Holocaust tient davantage du vomitif auquel il manque un sacrée dose de finesse ou de nuance ou des deux...

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