On ne devrait pas sous-estimer le talent de Walter Hill qui avec ce 48 Heures comme avec quelques autres films a mis tout son talent, toute sa fièvre, tout son sens du rythme et de la violence chorégraphiée pour réaliser le papa du Buddy movie, l'éternel premier polar urbain mettant côte à côte deux êtres dissemblables, aux méthodes et à la couleur de peau différentes, mais unis pour le pire et surtout le meilleur ! De mémoire c'est puissant, drôle et efficace.
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