mercredi 5 novembre 2014

Nobody Knows


Le pitch comme l'entrée en matière de Nobody Knows sont captivants. Il faut dire aussi que les critiques avaient fort bien préparé le terrain... Je me dis donc que je vais prendre une vraie grosse claque quand je rentre dans le cinéma. Le problème, et de taille, c'est que passées les 10 premières minutes, les enfants sont livrés à eux-mêmes et je réalise que le spectateur l'est aussi... D'où viendrait donc cette idée que pour traduire l'oisiveté, le laisser-aller d'enfants en roue libre il faille les filmer avec la même absence de conviction ? Ce qui explique mon incompréhension devant l'avalanche de louanges qui sont venues fleurir la sortie du film. L'absence de tout point de vue rend Nobody Knows finalement informe mais pire... assez indigeste.

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