jeudi 6 novembre 2014

Cobra Verde. Werner Herzog


Klaus est hélas devenu sa propre caricature grimaçante, l'ombre de lui-même dans un Cobra Verde qui cherche en vain à retrouver l'énergie sauvage et libre des exploits amazoniens du couple ensorcelant Kinski / Herzog. Mais ça ne marche guère, le manque criant de moyens se ressent beaucoup trop, l'amateurisme d'une grande partie des acteurs également. Au final un film qui ressembla à une sorte de Aguirre/Tintin qui changerait de continent... Cela marque le début d'une traversée du désert pour Werner Herzog et le vrai grand crépuscule pour le grand Kinski....

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