Savoureux jeu de massacre dans la plus pure tradition des Arsenic et vielles dentelles, L'honneur des Prizzi, et autres La Guerre des Rose. Mais surtout premier film de zombies traité sous l'angle de la comédie noire et caustique. Et là où Zemeckis réussit le plus follement son coup, c'est qu'il traite le sujet comme Tony Scott pour le film de vampire avec Les Prédateurs. A savoir sous l'angle du culte de l'apparence qui pousse les femmes oisives et nanties à vouloir arrêter le temps sur leurs visages comme si cela pousser retarder l'échéance ultime... Résultat : leurs traits se figent jusqu'à les momifier.... Zemeckis s'appuie à l'époque sur des effets spéciaux épatants et volontairement cartoonesques qui rendent service à la loufoquerie du film. Death becomes me est à redécouvrir. On passera un moment drôlement horrifique d'une cruauté rare et donc appréciable.
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