mardi 8 octobre 2013

Vol 93. Paul Greengrass


Dans ce qui s'annonçait comme la grand-messe du film catastrophe, la célébration du courage dans une société voyeuriste du tout spectaculaire, Paul Greengrass a le bon goût d'éviter tous les écueils larmoyants du genre, optant pour un traitement simple, sans chausse-trappe, sans vibrant message universel, faisant le choix qui suppose le plus d'humilité : pas de chichis pas de tralala est sa devise. Il s'en tient au visible, à l'essentiel, nous propose une narration à l'os. Et c'est tant mieux !

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