Passé tout près du sans fautes, quelques grains de sable viennent cependant gripper la belle machine : dialogues pas toujours au niveau, personnages secondaires pas assez creusés, surtout l'absence d'une véritable adversité... Mais il faut lui reconnaître une sacrée poésie dans l'ensemble (on pense à Miyazaki ou Grimault), un imaginaire puissant qui trouve sa pleine mesure dans les scènes de forêt où les fantômes à tête d'animaux me rappellent très fort les grandes heures de Comès (Silence, La Belette). A voir indéniablement.
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