mercredi 30 octobre 2013

Le jour des corneilles


Passé tout près du sans fautes, quelques grains de sable viennent cependant gripper la belle machine : dialogues pas toujours au niveau, personnages secondaires pas assez creusés, surtout l'absence d'une véritable adversité... Mais il faut lui reconnaître une sacrée poésie dans l'ensemble (on pense à Miyazaki ou Grimault), un imaginaire puissant qui trouve sa pleine mesure dans les scènes de forêt où les fantômes à tête d'animaux me rappellent très fort les grandes heures de Comès (SilenceLa Belette). A voir indéniablement.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire