lundi 21 octobre 2013

Lord of war. Andrew Niccol


Qui a dit avec raison que tout ce qui est excessif est insignifiant ? Voilà précisément ce dont pâtit Lord of War. Le ton de la satire et l'esthétique très pub affaiblissent son propos. La séquence d'intro à elle toute seule résume le film : racoleur, sans nuances, démonstration froidement théorique comme le bon spot d'une ONG impliquée dans le secteur. Ce manque de discernement rejaillit sur les personnages qui ne sont alors plus que des caricatures face auxquelles il devient impossible de s'indigner ou de compatir. Partant de là, on se fait c...

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