dimanche 24 août 2014

Inglorious Basterds. Quentin Tarantino


Séquence d'ouverture vraiment stupéfiante avec la révélation de cet acteur allemand polyglotte (CW). Jusque là rien à redire sinon waoooow ! C'est ensuite que ça se gâte. Des séquences bien longues, trop bavardes (celle de l'auberge de nuit) achèvent de tuer l'intensité d'Inglorious Basterds, qui se termine dans un gloubi boulga français évoquant maladroitement Le Dernier Métro entre autres références mais qui s'avère surtout être la partie la plus faible. Bref, tout ça manque de souffle, de tenue, de colonne vertébrale, d'un scénario digne de ce nom tout simplement. On sent que Tarantino se repose sur ses lauriers et fait moins d'efforts qu'auparavant... Dommage !

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