Boursouflé, stérile, froid comme la débauche d'effets spéciaux et de 3D et de quelques musiques loundge anachroniques qui disent toute la maladresse de Luhrman et donnent même par moments à ce Gatsby le magnifique des airs de publi-reportage pour un grand parfum français... Quand Jack Clayton filmait divinement la solitude de l'homme parvenu et cherchant à se raccrocher à la vérité des sentiments, Baz Luhrman tombe lui dans le piège tendu par le culte de la forme dans ce qu'elle a de plus apprêtée, vaine, superficielle et vidée de sa substance....
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