jeudi 21 novembre 2013

House of cards


Pendant 10 épisodes, c'est franchement bluffant, brillant, finement ciselé, dialogué, écrit. On est littéralement happé dans les coulisses du pouvoir. Avec en prime un Kevin Spacey plus vrai que nature en comploteur revanchard. Puis vient cet immense trou d'air de l'épisode 11 qui prend soudain nos vessies pour des lanternes, pas d'autres mots, au détour d'un crime pas assez crédible... Mais ça n'enlève rien à la puissance incarnée de tout ce qui vient avant.

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