dimanche 24 novembre 2013

Dans la maison. François Ozon


Pas mal mais comme dans Swimming Pool ou Ricky, François Ozon se contente d'un bon point de départ et se délite par la suite, ployant sous le poids des facilités... Le prétexte à la stylisation de personnages de la classe moyenne justifierait par exemple le fait de nous décrire des personnages bien trop caricaturaux pour nous faire vibrer. Dans l'esprit "création et mise en abime" je préfère encore Adaptation de Spike Jonze. Dans la veine polar sur un jeune écrivain de talent dont le roman devient l'objet de toutes les convoitises, je préfère encore le DOA de 1987. Chacun à sa façon plus modeste dans son ambition mais surtout beaucoup moins prétentieux.

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