lundi 30 septembre 2013

Panic Room. David Fincher


J'avais adoré cette critique du Monde à l'époque "N'est-ce pas un cauchemar dont le rêveur s'éveillera à la fin - mais qui est le rêveur ? et quand le cauchemar a-t-il commencé ? Ces questions hantent discrètement le film, lui donnent sa capacité d'émotion et d'incertitude, une beauté et une fluidité singulières". Même, l'affiche semble suggérer cette piste autour de psychanalyse des rêves.

Fincher n'est jamais aussi brillant que dans le minimalisme de la forme doublé d'une parabole à l'universalité indéniable. Dans le genre "obsédant thriller à huis-clos" , Panic Room est ce qu'il est de bon ton d'appeler un classique instantané.

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