dimanche 29 septembre 2013

Utopia. No country for dreamers


Enfin une série qui fait souffler un vent nouveau, avec un ton original trash-acidulé, avec un scénario bétonné porté par uen brochette d'acteurs épatants, où chaque petit détail recèle des trésors d'inventivité : les fuyards passant sous le regard amusé d'un bébé, l'éborgné qui tire au hasard dans une pièce pour essayer de transpercer un tueur se mouvant comme un shadow dancer... A certains égards on repense à No country for old men (la méthode du tueur au sac jaune pour raccourcir ses victimes et ses questions énigmatiques) et même au délirant Jeu de massacre d'Alain Jessua tournant déjà autour de l'univers de la BD... Seul hic : la fuite en avant de notre brochette de pieds nickelés tourne un peu en rond à partir des l'épisode 5 / 6 . Mais pour l'essentiel c'est formidable et intelligent. 

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