Au chapitre "relecture moderne du mythe vampirique", Fright Night de Tom Holland se pose là. Clins d'oeil intelligents à la grande époque du duo Terence Fisher / Christopher Lee (à travers le personnage de Peter Vincent) mais surtout problématique finement posée d'un âge de la vie, l'adolescence, et de son éveil à la sexualité (par la petite lucarne du voyeurisme, entre voisinage et poste de télévision). Et de mémoire effets spéciaux du meilleur tonneau. Je repense notamment à la scène finale et à une étonnante transformation loup-garesque. Bon cru horrifique qui sent bon les années 80.
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