samedi 9 mai 2015

Prey. Nick Murphy


Qu'est-ce qu'ils sont forts ces anglais ! Franchement, la toute dernière séquence post-révélation s'accompagne d'une musique qui vous tire les larmes. Ca fait oublier le coté Grand-Guignol de la scène  Climax, mais pour le reste ce Prey est vraiment très fort d'abord parce qu'il y est question de vrais personnages hauts en couleur, puissants, depuis la femme fliquette jusqu'au fugitif meurtri jusqu'à l'âme en passant par le collègue qui s'est noyé dans un bon vieux whisky irlandais… J'ai d'ailleurs pensé à mon cher DOA de 1987 lorsque Marcus tombe sur sa femme agonisant un couteau dans le ventre… Franchement il faut voir ce Prey, c'est une leçon pour tous les créateurs de série qui se sentent obligés de faire 6 ou 7 saisons et 12 épisodes par saison quand ici vous verrez que 3 épisodes suffisent amplement  pour raconter l'histoire d'un polar sombre et vraiment trépidant mais pas que…  Bouleversant aussi. J'avais également apprécié The Driver (dans une moindre mesure). Bref, une super découverte que ce Prey !    

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