mercredi 25 décembre 2013

Le Terminal. Steven Spielberg


Même quand il est un ton en dessous, Spielberg reste un maître. Ici les références (musique, univers, personnage principal) nous ramènent systématiquement vers Charlie Chaplin, pour le dire autrement vers ce que l'immigration a donné de meilleur aux Etats-Unis. Ce faisant, sous couvert d'une fable douce-amère sur l'Amérique paranoïaque et procédurière post 11 septembre, Le terminal ne fait rien d'autre que de puiser à cette source Chaplinienne pour ciseler un authentique conte de noël qui enchante et fait réfléchir. Que demander de plus ?    

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