mercredi 23 septembre 2015

Le conte de la princesse Kaguya


Déchirant de beauté… La scène où les deux tourtereaux s'ébattent dans les cieux par-delà les herbes folles est tout simplement magique. Le miroir sans tain de l'amour fou, vierge, innocent. Le dessin rappelle d'ailleurs celui de Boucq (Pierre de Lune), il est délicat et stimule l'imagination. Bref un film qu'on peut découvrir disons dès 5, 6 ans, parce qu'il n'y a pas vraiment d'âge pour commencer l'apprentissage de ce qu'est le deuil et qui ne nous quitte jamais depuis la plus tendre enfance !

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