jeudi 30 janvier 2014

Eureka


Vu au cinéma lors de sa sortie. Sujet en or, travail sur l'image extraordinaire (les tons Sepia donnent à l'ensemble quelque chose d'indescriptible qui hypnotise le spectateur). L'épilogue était de mémoire magique, comme le point final d'une culpabilité qui aura marqué de son empreinte les premières... trois heure. Car voici les seuls reproches imputables : des longueurs en veux-tu en voilà qui peuvent perdre beaucoup de monde en chemin pour un résultat (avec le recul) qui au final rappelle davantage un exercice littéraire. Mais bon, ça reste puissamment ancré dans ma mémoire de cinéphile.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire