mardi 18 février 2014

Elefante blanco


L'enfer est pavé de bonnes intentions… Et on les sent les bonnes intentions tout au long d' Elefante blanco. Le problème c'est que son scénario trop ambitieux est cousu de fil blanc et lorsqu'il veut faire passer des messages son réalisateur fait preuve d'une habileté d'éléphant dans un magasin de porcelaine (le fameux drame qu'on sent arriver à 1 kilomètre à la ronde)… Dommage vraiment parce que le cadre est soigné les acteurs très bons et le fond objectivement intéressant. J'en arrive presque à regretter qu'Elefante Blanco n'ait pas été un beau docu choc, une immersion létale dans le Buenos Aires qui fait frémir… Il aurait certainement gagné en puissance, en spontanéité, en capacité immédiate à secouer la spectateur.

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