Sacré projet. Bien pensé. Qui peut rappeler la force crue d'une trilogie Pusher comme plongée dans les arcanes de la pègre de Copenhagen. Qu'on aurait croisée avec l'univers de Drive du même Nicolas Winding Refn.
Le premier épisode permet d'aborder toutes les problématiques de cette série : la fatalité d'une d'extraction sociale, le désir de s'en sortir, de se racheter par les voies les plus nobles (sport, compétition...). Et puis ce qui fait le sel de cette série c'est le soin apporté à la mise en scène, à l'arène et au contexte linguistique faisant la part belle à ces langues qu'elles soient vernaculaires, celle de l'occupant historique, l'afrikaner, ou qu'elle soit l'anglais tout simplement... Belle découverte mais je n'en suis qu'à "épisode 2 !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire